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Réponse commentée.

ΕΡΩΤΗΜΑ 2ο :

 Να αναπτύξετε την απάντησή σας στο ειδικό ΤΕΤΡΑΔΙΟ.
 Το ερώτημα συμμετέχει κατά 40 % στη διαμόρφωση της βαθμολογίας της πρώτης θεματικής ενότητας.

Vous avez participé à une Table ronde du Congrès des Professeurs de français intitulée « Quels documents pour la classe de FLE ? » où vous vous êtes positionné(e) en faveur de l’utilisation des documents scientifiques.

En vue de la publication des Actes du Congrès, vous êtes tenu(e) de remettre le texte de votre intervention au Comité d’Organisation.

Rédigez votre texte en reprenant les grandes lignes de votre présentation : public des apprenants, source(s), types de documents, thématique(s), adaptation, modes d’exploitation, éventuellement référence à des expériences personnelles etc., tout en développant une argumentation pour justifier vos points de vue.

(250-300 mots environ)

Phase 1 [4]

Normes de présentation du texte :

 d’une intervention
 effectuée au cours d’une Table Ronde
 à des fins de publication

Doit se référer à :

 Document scientifiques
 Public des apprenants
 Sources
 Types de documents
 Thématiques
 Adaptation
 Modes d’exploitation
 Expérience personnelle

Phase 2 [5]

 À la question de savoir s’il est légitime de proposer des documents scientifiques en classe de FLE, je répondrais par l’affirmative, pour autant que l’exploitation de ces documents permette de faire développer par les apprenants des compétences dont ils ont réellement besoin.

 Le premier souci de l’enseignant des langues sera donc de définir le public des apprenants en termes de besoins et d’y faire correspondre les objectifs de cours.

 Ces besoins pourraient être résumés par une liste de situations de communication durant lesquelles les apprenants seraient conduits à devoir communiquer en français.

 Le recensement ainsi réalisé devrait conduire au choix de certains types de documents se référant aux domaines – scientifiques dans ce cas – dans lesquels les apprenants se sont engagés ou s’engageront professionnellement.

 Les sources à privilégier peuvent être les revues scientifiques, bien entendu, mais de premiers pas plus faciles pourraient être franchis en utilisant les revues à vocation vulgarisatrice comme Science et Vie, par exemple.

 Les thématiques seraient celles, quant à elles, qui intéressent professionnellement les apprenants.

 Il n’y aurait finalement aucun besoin d’adaptation de ces articles. N’oublions pas que l’approche communicative, qu’elle s’intègre ou non dans une perspective actionnelle de l’usage de la langue, privilégie l’usage de documents rigoureusement authentiques.

 Rappelons aussi que le mode d’exploitation de ces documents consiste justement à les utiliser dans le respect de leur fonction sociale première.

 Mon expérience personnelle confirme, elle aussi, que l’usage de documents scientifiques en classe de langue ne comporte en fin de compte aucun danger, aussi difficile que soit leur abord, à partir du moment où ces documents sont bien ceux que les apprenants pourraient devoir un jour consulter dans leur avenir professionnel.

Phase 3 [6]

Texte de l’intervention de Jean NÉMARD
à la Table Ronde du 01/11/2008 organisée à Thessaloniki,
dans le cadre des activités du VIe Congrès des Professeurs de Français :
"Quels documents pour la classe de FLE ?"

À la question de savoir s’il est légitime de proposer des documents scientifiques en classe de FLE, je répondrais par l’affirmative, pour autant que l’exploitation de ces documents permette de faire développer par les apprenants des compétences dont ils ont réellement besoin.

Le premier souci de l’enseignant des langues sera donc de définir le public des apprenants en termes de besoins et d’y faire correspondre les objectifs de cours. Ces besoins pourraient être résumés par une liste de situations de communication durant lesquelles les apprenants seraient conduits à devoir communiquer en français.

Le recensement ainsi réalisé devrait conduire au choix de certains types de documents se référant aux domaines – scientifiques dans ce cas – dans lesquels les apprenants se sont engagés ou s’engageront professionnellement. Les sources à privilégier peuvent être les revues scientifiques, bien entendu, mais de premiers pas plus faciles pourraient être franchis en utilisant les revues à vocation vulgarisatrice comme Science et Vie, par exemple. Les thématiques seraient, quant à elles, celles qui intéressent professionnellement les apprenants.
Il n’y aurait finalement aucun besoin d’adaptation de ces articles. N’oublions pas que l’approche communicative, qu’elle s’intègre ou non dans une perspective actionnelle de l’usage de la langue, privilégie l’usage de documents rigoureusement authentiques. Rappelons aussi que le mode d’exploitation de ces documents consiste justement à les utiliser dans le respect de leur fonction sociale première.

Mon expérience personnelle confirme, elle aussi, que l’usage de documents scientifiques en classe de langue ne comporte en fin de compte aucun danger, aussi difficile que soit leur abord, à partir du moment où ces documents sont bien ceux que les apprenants pourraient devoir un jour consulter dans leur avenir professionnel.

[± 300 mots]

__________

[1Décodage de la consigne

[2Rédaction d’une ou deux phrases simples correspondant à chacun des points recensés sous Phase 1

[3Finalisation du texte (titre, mise-en-page, cohésion, etc.)

[4Décodage de la consigne

[5Rédaction d’une ou deux phrases simples correspondant à chacun des points recensés sous Phase 1

[6Finalisation du texte (titre, mise-en-page, cohésion, etc.)


Professionnel de l’enseignement supérieur avec plus de 35 ans d’expérience en linguistique, expert en méthodologie d’enseignement des langues et évaluation des compétences. …

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